François d'Orléans
François Ferdinand Philippe Louis Marie
prince de Joinville , Grand-croix de la Légion d'honneur (1839), chevalier de l'ordre de la Toison d'or , grand cordon et croix de l'ordre de Pierre I , grand cordon et croix de l'ordre de la Croix , grand cordon et croix de l'ordre de Léopold de Belgique , grand cordon et croix de l'ordre de Saint-Ferdinand et du Mérite des Deux-Siciles , chevalier de l'ordre de la Tour et de l'Epée , chevalier de l'ordre de du Lion Néerlandais , chevalier de l'ordre de la maison ducale ernestine de Saxe
- Né le 14 août 1818 au château de Neuilly
- Baptisé le 8 novembre 1818 dans le salon jaune du Palais Royal à Paris
- Décédé le 16 juin 1900 au 65 avenue d'Antin à Paris à l’âge de 81 ans
- Inhumé dans la chapelle Saint-Louis de Dreux
Parents :
Louis Philippe I d'Orléans roi des Français et de Marie Amélie de Bourbon princesse des Deux-Siciles
Mariage
Marié le 1er mai 1843 au palais impérial de Sao Cristovao à Rio de Janeiro avec Françoise de Bragance princesse du Brésil (Parents : Pedro I de Bragance empereur du Brésil & Marie Léopoldine d'Autriche)
Domaines et résidences
- Château de Carheil : acquis en 1842 et vendu en 1856, le château est détruit, reste la chapelle construit par le prince de Joinville
- château d'Arc et forêt d'Arc-Chateauvillain, legs de Madame Adélaïde
Curiosité
Le rocher royal à Cauterets :
Au début des années 1830, le roi Louis-Philippe a envoyé en punition à Cauterets dans les Pyrénées deux de ses fils François, Prince de Joinville et Henri, Duc d’Aumale qui s’étaient mal comportés.
Lors de ce séjour, le Prince de Joinville a exercé ses talents d’artiste sur les rochers du parc municipal. Aujourd’hui encore, on peut admirer le profil du roi Louis-Philippe taillé dans la pierre par le fils de ce dernier.
Joueur, il aurait déposé sa montre pour honorer une dette de jeu. Quelque peu honteux, il aurait alors prétendu l'avoir oubliée chez sa tante, d'où l'expression « ma tante » pour qualifier le mont-de-piété.
François d’Orléans apparaît dans Les Tuniques bleues bande dessinée dans l’album « Sang bleu chez les Bleus ».
Gisant par Antonin Mercié mis en place en 1914
- chapelle royale Saint-Louis de Dreux







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