Étienne Fomorin, Marc Réaux, Henri Pousset et Charles Troutot gardiens de la paix, le 8 novembre 1892 l’anarchiste Émile Henry pose une bombe dans l’usine de la Compagnie des mines de Carmaux, le concierge trouve la bombe et la rapporte au commissariat de la rue des Bons-Enfants où elle explose y tuant six personnes
Gaston Bailly gardien de la paix de la brigade, le 2 novembre 1901 il se noie en tentant de sauver une désespérée qui venait de jeter dans la Seine
Moreau sous brigadier de gardiens de la paix, 28 mai 1907 il est tué par Nicolas Courtz qu'il venait arrêter
Robert Blot commissaire de police, le 17 juillet 1909 alors qu'il venait arrêter Émile Delaunay receleur d'objets d'église, il est mortellement blessé.
Eugène Mugat inspecteur de sûreté, le 17 juillet 1909 alors qu'il venait arrêter Émile Delaunay receleur d'objets d'église, il est mortellement blessé
Charles Dufresne gardien de la paix, le 13 octobre 1909 il est tué lors d'une manifestation d'anarchistes
Célestin Deray gardien de la paix, le 9 janvier 1910 il est tué par l'anarchiste Jean-Jacques Liabeuf
Jean Moulis inspecteur à la brigade mobile, le 24 mars 1911, il tué par des apaches bandes criminelles de l'époque
François Garnier gardien de la paix, le 27 février 1912 il intercepte un véhicule qui ne respectait pas la réglementation, il est abattu, c'était la voiture de la bande à Bonnot.
Louis François Jouin commissaire de police directeur adjoint de la Sureté, le 24 Avril 1912 une des planques de Bonnot est localisée, Jouin s'y rend sans connaitre la présence sur les lieux du bandit que le tue.
Jacques Forgue gardien de la paix, le 05 août 1914 plusieurs coups de feu retentissent dans un hôtel meublé, Henri Janson pris de graves troubles mentaux venait de tirer en direction de son logeur, lorsque les gardiens de la paix arrivent ils sont pris pour cible, Jacques Forgue est tué le sur le coup.
Allain Bourhis inspecteur de police, le 5 août 1928 il surprend un cambrioleur alors qu’il quittait un pavillon par escalade. Le malfaiteur lui tire dessus, il meurt le 7 aout
Auguste Reslou gardien de la paix, le 24 mars 1929 il est mobilisé pour surveiller les milieux communistes lors d’une conférence régionale d’information aux abords de la salle Reflut à Clichy, il est mortellement blessé alors que des manifestants forcent l’entrée dans la salle.
Victor Allès inspecteur de police, le 22 novembre 1930 grièvement blessé par Innocent Almatraz, une rue porte son nom
Henri Verjus gardien de la paix, le 23 septembre 1931, Joseph Lanio et Marcel Bougo auteurs d'une série d'agressions, alors qu'il dévalise un passant, Henri Verjus se lance à la poursuite de Lanio et moment où il l'appréhende et lui plante un couteau dans la gorge
Charles Jobert sous-Brigadier, le 19 septembre 1958 il fut lâchement abattu par un groupe armé du Front de Libération Nationale — FLN
- 27e division - cimetière du Montparnasse
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